



Les aliments ultra-transformés (AUT) sont omniprésents dans nos vies : pratiques, bon marché, savoureux… mais aussi dangereux pour notre santé intestinale. Une revue scientifique parue en février 2025 dans la revue Nutrients fait un constat alarmant : ces produits bouleversent notre microbiote, fragilisent notre barrière intestinale et ouvrent la voie à des maladies chroniques majeures.
Dans cet article, nous vous expliquons concrètement ce que la science sait aujourd’hui, comment les AUT agissent dans votre intestin, quels risques ils induisent pour votre santé globale, et surtout comment réagir intelligemment (avec l’aide de votre assiette… et parfois de bons compléments).
☑️ Les aliments ultra-transformés (AUT) ne se contentent pas d'appauvrir la qualité nutritionnelle de votre assiette : ils altèrent en profondeur le microbiote intestinal et fragilisent la barrière intestinale, deux piliers de la santé globale.
☑️ Bonne nouvelle : ce n’est pas irréversible.
☑️ Une alimentation riche en fibres et en aliments bruts, associée à des compléments bien ciblés (probiotiques, prébiotiques…) peut favoriser un retour progressif à un environnement intestinal plus stable et fonctionnel.
☑️ À noter : une nouvelle formulation Nutrixeal, actuellement en développement, viendra bientôt compléter ces approches de manière innovante et synergique.
Pour bien comprendre les impacts des aliments ultra-transformés sur la santé, il est essentiel de revenir à la classification NOVA, un outil de référence reconnu par l’OMS et utilisé dans de nombreuses études en nutrition de santé publique. Cette classification ne se base pas sur la valeur nutritionnelle, mais sur le degré de transformation des aliments.
Dans les pays industrialisés, les AUT représentent jusqu’à 50 à 60 % de l’apport calorique quotidien, notamment chez les adolescents et les jeunes adultes. Leur consommation est en hausse constante, favorisée par leur prix, leur disponibilité et leur marketing intensif, souvent ciblé sur les enfants.
Mais derrière leur praticité apparente, ces produits modifient profondément notre métabolisme, notre microbiote et notre santé à long terme. C’est ce que la science confirme de plus en plus clairement.
Le microbiote intestinal est un écosystème complexe composé de plusieurs milliers de milliards de micro-organismes — principalement des bactéries, mais aussi des levures, archées et virus — qui résident dans notre intestin. Cet ensemble vivant forme un organe à part entière, en interaction permanente avec notre corps. Son bon fonctionnement est indispensable à notre santé globale. Il intervient dans de nombreux processus biologiques :
Un microbiote équilibré est donc un pilier de la santé digestive, métabolique, immunitaire et mentale.
La revue The Detrimental Impact of Ultra-Processed Foods on the Human Gut Microbiome and Gut Barrier (publiée dans Nutrients, 2025) met en lumière les perturbations profondes induites par les aliments ultra-transformés (AUT) sur le microbiote intestinal.

Les AUT, très pauvres en fibres fermentescibles et riches en sucres simples, en graisses raffinées et en additifs, entraînent une réduction de la diversité bactérienne intestinale. Or, cette diversité est un indicateur fondamental de la résilience et de la stabilité du microbiote : plus elle est faible, plus le système est vulnérable aux perturbations.
Deux espèces bactériennes particulièrement importantes voient leur abondance fortement diminuer chez les consommateurs réguliers d’AUT :
La disparition progressive de ces bactéries a été associée à des pathologies telles que le diabète de type 2, l’obésité, les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) et certains troubles de l’humeur.
À l’inverse, les AUT favorisent la croissance de bactéries associées à des profils pro-inflammatoires, comme :
Ces déséquilibres caractérisent un état de dysbiose intestinale.
h3 style="font-size: 1.4rem; margin-top: 30px; margin-bottom: 30px; color: #2972a7;">La dysbiose : un terrain propice aux maladies chroniques
La dysbiose se définit comme un déséquilibre du microbiote intestinal, marqué par une perte de diversité, une réduction des espèces bénéfiques, et une dominance de micro-organismes pathogènes ou inflammatoires.
Selon les données issues de la revue, cette dysbiose peut engendrer :
En somme, les aliments ultra-transformés ne nuisent pas uniquement à la qualité nutritionnelle de nos repas : ils altèrent directement un organe clé du bien-être global, le microbiote intestinal. Les effets, souvent discrets au début, peuvent devenir systémiques et durables s’ils ne sont pas corrigés à temps.

L’intestin n’est pas seulement un organe de digestion. C’est aussi une zone de frontière hautement contrôlée entre le milieu extérieur (les aliments, les microbes, les toxines ingérées) et l’intérieur du corps (la circulation sanguine, les organes). Pour assurer cette fonction de filtre intelligent, l’organisme s’appuie sur une barrière intestinale complexe, dynamique et hautement spécialisée.
La barrière intestinale est constituée de plusieurs éléments qui travaillent ensemble pour maintenir un équilibre entre perméabilité contrôlée (pour laisser passer les nutriments) et protection stricte (contre les intrus potentiellement dangereux) :
La revue de 2025 souligne que plusieurs composants typiques des aliments ultra-transformés (AUT) fragilisent activement cette barrière :
Des additifs tels que la carboxyméthylcellulose et le polysorbate 80, fréquemment utilisés pour stabiliser la texture des produits industriels (sauces, crèmes, desserts, produits allégés…), ont montré dans plusieurs études qu’ils :
Résultat : les microbes et leurs toxines peuvent se rapprocher de la muqueuse, voire la traverser.
Des substances comme le sucralose, l’aspartame ou l’acesulfame-K perturbent l’équilibre microbien intestinal. Certaines études suggèrent qu’ils :
Ces effets sont observés même en l’absence de calories, ce qui remet en question leur usage comme "alternatives saines" au sucre.
Consommées en excès, comme c’est souvent le cas dans les AUT (produits frits, snacks, viennoiseries industrielles...), elles :
La cuisson à haute température, typique des produits frits ou grillés industriellement, génère des composés de glycation avancée (AGEs) et des produits issus de la réaction de Maillard. Ces substances :
En somme, les UPFs altèrent la composition et les fonctions du microbiote intestinal, réduisent la diversité bactérienne bénéfique, augmentent la perméabilité de l’intestin et déclenchent une inflammation chronique de bas grade, facteurs clés dans le développement de nombreuses maladies métaboliques.
Lorsque la barrière intestinale cède et que le microbiote perd son équilibre, les conséquences ne se limitent pas à un inconfort digestif. Ces perturbations engendrent une inflammation systémique de bas grade, un état chronique, silencieux, mais durable, aujourd’hui reconnu comme le dénominateur commun de nombreuses maladies non transmissibles.
La revue scientifique de 2025 synthétise les principaux liens entre les AUT, la dysbiose intestinale et les pathologies chroniques. Voici les plus documentées à ce jour :
Les personnes consommant régulièrement des AUT présentent un risque accru de développer un syndrome métabolique — un ensemble de troubles incluant tour de taille élevé, hypertension, dyslipidémie et résistance à l’insuline.
Résultat : une consommation régulière d’AUT favorise la prise de poids viscéral, la dérégulation du métabolisme glucidique et l’installation progressive d’un diabète de type
La maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique sont des affections inflammatoires du tube digestif fortement influencées par l’environnement intestinal.
Certaines études suggèrent même que la consommation élevée d’AUT pendant l’enfance pourrait augmenter le risque de MICI à l’âge adulte.
Le microbiote joue un rôle clé dans la prévention ou la promotion de certains cancers, notamment celui du côlon.
Plusieurs études épidémiologiques associent désormais la consommation élevée d’AUT à une augmentation du risque de cancer colorectal, indépendamment des facteurs nutritionnels classiques (fibres, alcool, etc.).
Le rôle de l’intestin dans la santé mentale est aujourd’hui bien établi via l’axe intestin-cerveau, un réseau de communication bidirectionnel entre les bactéries intestinales, le système nerveux entérique, le cerveau et le système immunitaire.
Une étude citée dans la revue révèle qu’une consommation élevée d’AUT chez les adolescents est associée à un risque accru de dépression à l’âge adulte.

L'altération de la barrière intestinale expose le système immunitaire à des antigènes alimentaires et bactériens qu’il ne devrait normalement pas rencontrer. Cela peut :
Le lien entre la perméabilité intestinale, la dysbiose et l’auto-immunité est un champ de recherche en pleine expansion, et les AUT sont l’un des facteurs les plus étudiés dans ce contexte.
Les dommages causés par une alimentation ultra-transformée sur le microbiote et la barrière intestinale peuvent être profonds. Mais la science est claire : ces déséquilibres ne sont pas irréversibles. À condition d’intervenir de façon ciblée, cohérente et durable, il est possible de réorienter l’écosystème intestinal vers un état plus stable et protecteur.
La revue Nutrients (2025) propose des solutions concrètes, validées scientifiquement, pour restaurer et entretenir un équilibre intestinal durable. Ces recommandations s’articulent autour de trois piliers essentiels : l’alimentation, la supplémentation ciblée et l’hygiène de vie.

L’alimentation moderne, dominée par les produits ultra-transformés, est appauvrie en fibres, en composés bioactifs, et riche en additifs nocifs. À l’inverse, une alimentation axée sur la diversité végétale, les aliments fermentés et les produits bruts permet de nourrir le microbiote et de renforcer la barrière intestinale.
Une alimentation anti-dysbiose repose sur la variété, la fraîcheur, et la richesse en végétaux fonctionnels.
Pour soutenir activement la santé intestinale, certains compléments alimentaires peuvent jouer un rôle ciblé et pertinent. La revue insiste sur l’impact positif particulier des prébiotiques et probiotiques … Ces outils agissent en synergie avec le microbiote pour renforcer sa diversité, soutenir la barrière intestinale et moduler l’inflammation. Lorsqu’ils sont bien sélectionnés, ils constituent un levier stratégique pour optimiser l’équilibre intestinal sur le long terme.
Certaines souches sont particulièrement bien documentées pour leurs effets bénéfiques sur la santé intestinale. Parmi les plus étudiées, on retrouve notamment Lactobacillus rhamnosus et Bifidobacterium longum.
Un probiotique efficace doit contenir des souches cliniquement testées, en quantités suffisantes (généralement plusieurs milliards d’UFC par prise), et être formulé pour résister à l’acidité gastrique afin d’atteindre l’intestin intact.
Le laboratoire Nutrixeal a sélectionné pour vous des souches probiotiques hautement documentées, utilisées dans la recherche clinique, et les a intégrées à des formules gastro-résistantes, sans excipients controversés, pour une efficacité optimale et une tolérance digestive irréprochable.
Il s’agit de fibres spécifiques que notre organisme ne digère pas, mais qui sont essentielles à l'équilibre du microbiote. Elles servent de support nutritif aux bactéries bénéfiques. Les plus étudiées et efficaces sont les fibres fermentescibles et les oligosaccharides, deux familles clés dans le soutien de la santé intestinale.
Leur consommation régulière stimule la croissance de Bifidobacterium et d'autres espèces clés du microbiote, tout en favorisant la production d’acides gras à chaîne courte (SCFAs), dont le butyrate, un acteur essentiel de la santé intestinale.
En phase avec les recommandations issues de la revue Nutrients (2025), le laboratoire Nutrixeal propose des ingrédients prébiotiques de très haute qualité : extraits purifiés, sans additifs superflus, hautement biodisponibles et sélectionnés pour leur efficacité documentée et leur excellente tolérance digestive.
Le microbiote ne réagit pas uniquement à ce que vous mangez. Il est également influencé par votre mode de vie, notamment par le stress, le sommeil et l’activité physique. La revue Nutrients rappelle que des ajustements simples peuvent faire une réelle différence.
Des études montrent que l’exercice (même modéré) :
Il est conseillé de viser au moins 150 minutes d’activité physique par semaine, combinant endurance et mouvements fonctionnels.
Le stress chronique perturbe l’axe intestin-cerveau et modifie la composition du microbiote. Il favorise également la perméabilité intestinale et l’inflammation.
Stratégies recommandées :
Le microbiote suit un rythme circadien, synchronisé avec votre veille/sommeil. Un sommeil de mauvaise qualité peut perturber sa composition.
Objectifs :
À la lumière des récentes découvertes scientifiques, il ne fait plus de doute que le microbiote et la barrière intestinale sont au cœur de notre santé globale. Ce que nous mangeons, la manière dont nous vivons, et les déséquilibres que nous accumulons finissent tous, tôt ou tard, par impacter cet écosystème fragile.
Si les ajustements alimentaires et l’hygiène de vie sont essentiels pour restaurer l’équilibre intestinal, Nutrixeal s’apprête à aller encore plus loin. Forts de notre expertise en nutrition fonctionnelle, nous préparons le lancement d’un complément innovant, spécifiquement conçu pour répondre aux besoins globaux de l’écosystème intestinal moderne.
Pensée comme une formule complète et synergique, cette nouveauté a pour objectif de soutenir :
Sans dévoiler encore sa composition, nous pouvons d’ores et déjà affirmer que cette formulation mobilise des actifs de dernière génération, rigoureusement sélectionnés pour leur efficacité documentée, leur biodisponibilité et leur tolérance.
Ce complexe innovant viendra enrichir notre gamme existante, déjà composée de probiotiques, prébiotiques, enzymes digestives, extraits végétaux, acides aminés et fibres fonctionnelles, tous conçus avec le même souci de qualité : formules sans excipients inutiles, sans allergènes majeurs, et toujours 100 % actives.
Chez Nutrixeal, nous croyons que la prévention commence au niveau cellulaire, que le microbiote est un allié à cultiver, et que la barrière intestinale mérite d’être protégée avec autant de soin que n’importe quel autre organe vital.
Pour bien comprendre les impacts des aliments ultra-transformés sur la santé, il est essentiel de revenir à la classification NOVA, un outil de référence reconnu par l’OMS et utilisé dans de nombreuses études en nutrition de santé publique. Cette classification ne se base pas sur la valeur nutritionnelle, mais sur le degré de transformation des aliments.
Dans les pays industrialisés, les AUT représentent jusqu’à 50 à 60 % de l’apport calorique quotidien, notamment chez les adolescents et les jeunes adultes. Leur consommation est en hausse constante, favorisée par leur prix, leur disponibilité et leur marketing intensif, souvent ciblé sur les enfants.
Mais derrière leur praticité apparente, ces produits modifient profondément notre métabolisme, notre microbiote et notre santé à long terme. C’est ce que la science confirme de plus en plus clairement.
Le microbiote intestinal est un écosystème complexe composé de plusieurs milliers de milliards de micro-organismes — principalement des bactéries, mais aussi des levures, archées et virus — qui résident dans notre intestin. Cet ensemble vivant forme un organe à part entière, en interaction permanente avec notre corps. Son bon fonctionnement est indispensable à notre santé globale. Il intervient dans de nombreux processus biologiques :
Un microbiote équilibré est donc un pilier de la santé digestive, métabolique, immunitaire et mentale.
La revue The Detrimental Impact of Ultra-Processed Foods on the Human Gut Microbiome and Gut Barrier (publiée dans Nutrients, 2025) met en lumière les perturbations profondes induites par les aliments ultra-transformés (AUT) sur le microbiote intestinal.

Les AUT, très pauvres en fibres fermentescibles et riches en sucres simples, en graisses raffinées et en additifs, entraînent une réduction de la diversité bactérienne intestinale. Or, cette diversité est un indicateur fondamental de la résilience et de la stabilité du microbiote : plus elle est faible, plus le système est vulnérable aux perturbations.
Deux espèces bactériennes particulièrement importantes voient leur abondance fortement diminuer chez les consommateurs réguliers d’AUT :
La disparition progressive de ces bactéries a été associée à des pathologies telles que le diabète de type 2, l’obésité, les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) et certains troubles de l’humeur.
À l’inverse, les AUT favorisent la croissance de bactéries associées à des profils pro-inflammatoires, comme :
Ces déséquilibres caractérisent un état de dysbiose intestinale.
La dysbiose se définit comme un déséquilibre du microbiote intestinal, marqué par une perte de diversité, une réduction des espèces bénéfiques, et une dominance de micro-organismes pathogènes ou inflammatoires.
Selon les données issues de la revue, cette dysbiose peut engendrer :
En somme, les aliments ultra-transformés ne nuisent pas uniquement à la qualité nutritionnelle de nos repas : ils altèrent directement un organe clé du bien-être global, le microbiote intestinal. Les effets, souvent discrets au début, peuvent devenir systémiques et durables s’ils ne sont pas corrigés à temps.
L’intestin n’est pas seulement un organe de digestion. C’est aussi une zone de frontière hautement contrôlée entre le milieu extérieur (les aliments, les microbes, les toxines ingérées) et l’intérieur du corps (la circulation sanguine, les organes). Pour assurer cette fonction de filtre intelligent, l’organisme s’appuie sur une barrière intestinale complexe, dynamique et hautement spécialisée.

La barrière intestinale est constituée de plusieurs éléments qui travaillent ensemble pour maintenir un équilibre entre perméabilité contrôlée (pour laisser passer les nutriments) et protection stricte (contre les intrus potentiellement dangereux) :
La revue de 2025 souligne que plusieurs composants typiques des aliments ultra-transformés (AUT) fragilisent activement cette barrière :
Des additifs tels que la carboxyméthylcellulose et le polysorbate 80, fréquemment utilisés pour stabiliser la texture des produits industriels (sauces, crèmes, desserts, produits allégés…), ont montré dans plusieurs études qu’ils :
Résultat : les microbes et leurs toxines peuvent se rapprocher de la muqueuse, voire la traverser.
Des substances comme le sucralose, l’aspartame ou l’acesulfame-K perturbent l’équilibre microbien intestinal. Certaines études suggèrent qu’ils :
Ces effets sont observés même en l’absence de calories, ce qui remet en question leur usage comme "alternatives saines" au sucre.
Consommées en excès, comme c’est souvent le cas dans les AUT (produits frits, snacks, viennoiseries industrielles...), elles :
La cuisson à haute température, typique des produits frits ou grillés industriellement, génère des composés de glycation avancée (AGEs) et des produits issus de la réaction de Maillard. Ces substances :
En somme, les AUT altèrent la composition et les fonctions du microbiote intestinal, réduisent la diversité bactérienne bénéfique, augmentent la perméabilité de l’intestin et déclenchent une inflammation chronique de bas grade, facteurs clés dans le développement de nombreuses maladies métaboliques.
Lorsque la barrière intestinale cède et que le microbiote perd son équilibre, les conséquences ne se limitent pas à un inconfort digestif. Ces perturbations engendrent une inflammation systémique de bas grade, un état chronique, silencieux, mais durable, aujourd’hui reconnu comme le dénominateur commun de nombreuses maladies non transmissibles.
La revue scientifique de 2025 synthétise les principaux liens entre les AUT, la dysbiose intestinale et les pathologies chroniques. Voici les plus documentées à ce jour :
Les personnes consommant régulièrement des AUT présentent un risque accru de développer un syndrome métabolique — un ensemble de troubles incluant tour de taille élevé, hypertension, dyslipidémie et résistance à l’insuline.
Résultat : une consommation régulière d’AUT favorise la prise de poids viscéral, la dérégulation du métabolisme glucidique et l’installation progressive d’un diabète de type.
La maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique sont des affections inflammatoires du tube digestif fortement influencées par l’environnement intestinal.
Certaines études suggèrent même que la consommation élevée d’AUT pendant l’enfance pourrait augmenter le risque de MICI à l’âge adulte.
Le microbiote joue un rôle clé dans la prévention ou la promotion de certains cancers, notamment celui du côlon.
Plusieurs études épidémiologiques associent désormais la consommation élevée d’AUT à une augmentation du risque de cancer colorectal, indépendamment des facteurs nutritionnels classiques (fibres, alcool, etc.).

Le rôle de l’intestin dans la santé mentale est aujourd’hui bien établi via l’axe intestin-cerveau, un réseau de communication bidirectionnel entre les bactéries intestinales, le système nerveux entérique, le cerveau et le système immunitaire.
Une étude citée dans la revue révèle qu’une consommation élevée d’AUT chez les adolescents est associée à un risque accru de dépression à l’âge adulte.
L'altération de la barrière intestinale expose le système immunitaire à des antigènes alimentaires et bactériens qu’il ne devrait normalement pas rencontrer. Cela peut :
Le lien entre la perméabilité intestinale, la dysbiose et l’auto-immunité est un champ de recherche en pleine expansion, et les AUT sont l’un des facteurs les plus étudiés dans ce contexte.
Les dommages causés par une alimentation ultra-transformée sur le microbiote et la barrière intestinale peuvent être profonds. Mais la science est claire : ces déséquilibres ne sont pas irréversibles. À condition d’intervenir de façon ciblée, cohérente et durable, il est possible de réorienter l’écosystème intestinal vers un état plus stable et protecteur.
La revue Nutrients (2025) propose des solutions concrètes, validées scientifiquement, pour restaurer et entretenir un équilibre intestinal durable. Ces recommandations s’articulent autour de trois piliers essentiels : l’alimentation, la supplémentation ciblée et l’hygiène de vie.
L’alimentation moderne, dominée par les produits ultra-transformés, est appauvrie en fibres, en composés bioactifs, et riche en additifs nocifs. À l’inverse, une alimentation axée sur la diversité végétale, les aliments fermentés et les produits bruts permet de nourrir le microbiote et de renforcer la barrière intestinale.

Une alimentation anti-dysbiose repose sur la variété, la fraîcheur, et la richesse en végétaux fonctionnels.
Pour soutenir activement la santé intestinale, certains compléments alimentaires peuvent jouer un rôle ciblé et pertinent. La revue insiste sur l’impact positif particulier des prébiotiques et probiotiques … Ces outils agissent en synergie avec le microbiote pour renforcer sa diversité, soutenir la barrière intestinale et moduler l’inflammation. Lorsqu’ils sont bien sélectionnés, ils constituent un levier stratégique pour optimiser l’équilibre intestinal sur le long terme.
Certaines souches sont particulièrement bien documentées pour leurs effets bénéfiques sur la santé intestinale. Parmi les plus étudiées, on retrouve notamment Lactobacillus rhamnosus et Bifidobacterium longum.
Un probiotique efficace doit contenir des souches cliniquement testées, en quantités suffisantes (généralement plusieurs milliards d’UFC par prise), et être formulé pour résister à l’acidité gastrique afin d’atteindre l’intestin intact.
Le laboratoire Nutrixeal a sélectionné pour vous des souches probiotiques hautement documentées, utilisées dans la recherche clinique, et les a intégrées à des formules gastro-résistantes, sans excipients controversés, pour une efficacité optimale et une tolérance digestive irréprochable.
Il s’agit de fibres spécifiques que notre organisme ne digère pas, mais qui sont essentielles à l'équilibre du microbiote. Elles servent de support nutritif aux bactéries bénéfiques. Les plus étudiées et efficaces sont les fibres fermentescibles et les oligosaccharides, deux familles clés dans le soutien de la santé intestinale.
Leur consommation régulière stimule la croissance de Bifidobacterium et d'autres espèces clés du microbiote, tout en favorisant la production d’acides gras à chaîne courte (SCFAs), dont le butyrate, un acteur essentiel de la santé intestinale.
En phase avec les recommandations issues de la revue Nutrients (2025), le laboratoire Nutrixeal propose des ingrédients prébiotiques de très haute qualité : extraits purifiés, sans additifs superflus, hautement biodisponibles et sélectionnés pour leur efficacité documentée et leur excellente tolérance digestive.
Le microbiote ne réagit pas uniquement à ce que vous mangez. Il est également influencé par votre mode de vie, notamment par le stress, le sommeil et l’activité physique. La revue Nutrients rappelle que des ajustements simples peuvent faire une réelle différence.
Des études montrent que l’exercice (même modéré) :
Il est conseillé de viser au moins 150 minutes, soit 2 heures et demie d’activité physique par semaine, combinant endurance et mouvements fonctionnels.
Le stress chronique perturbe l’axe intestin-cerveau et modifie la composition du microbiote. Il favorise également la perméabilité intestinale et l’inflammation.
Stratégies recommandées :
Le microbiote suit un rythme circadien, synchronisé avec votre veille/sommeil. Un sommeil de mauvaise qualité peut perturber sa composition.
Objectifs :
À la lumière des récentes découvertes scientifiques, il ne fait plus de doute que le microbiote et la barrière intestinale sont au cœur de notre santé globale. Ce que nous mangeons, la manière dont nous vivons, et les déséquilibres que nous accumulons finissent tous, tôt ou tard, par impacter cet écosystème fragile.
Si les ajustements alimentaires et l’hygiène de vie sont essentiels pour restaurer l’équilibre intestinal, Nutrixeal s’apprête à aller encore plus loin. Forts de notre expertise en nutrition fonctionnelle, nous préparons le lancement d’un complément innovant, spécifiquement conçu pour répondre aux besoins globaux de l’écosystème intestinal moderne.
Pensée comme une formule complète et synergique, cette nouveauté a pour objectif de soutenir :
Sans dévoiler encore sa composition, nous pouvons d’ores et déjà affirmer que cette formulation mobilise des actifs de dernière génération, rigoureusement sélectionnés pour leur efficacité documentée, leur biodisponibilité et leur tolérance.
Ce complexe innovant viendra enrichir notre gamme existante, déjà composée de probiotiques, prébiotiques, enzymes digestives, extraits végétaux, acides aminés et fibres fonctionnelles, tous conçus avec le même souci de qualité : formules sans excipients inutiles, sans allergènes majeurs, et toujours 100 % actives.
Chez Nutrixeal, nous croyons que la prévention commence au niveau cellulaire, que le microbiote est un allié à cultiver, et que la barrière intestinale mérite d’être protégée avec autant de soin que n’importe quel autre organe vital.
En Bref
☑️ Les aliments ultra-transformés (AUT) ne se contentent pas d'appauvrir la qualité nutritionnelle de votre assiette : ils altèrent en profondeur le microbiote intestinal et fragilisent la barrière intestinale, deux piliers de la santé globale.
☑️ Bonne nouvelle : ce n’est pas irréversible.
Une alimentation riche en fibres et en aliments bruts, associée à des compléments bien ciblés (probiotiques, prébiotiques…) peut favoriser un retour progressif à un environnement intestinal plus stable et fonctionnel.
☑️ À noter : une nouvelle formulation Nutrixeal, actuellement en développement, viendra bientôt compléter ces approches de manière innovante et synergique.
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